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40 participantsFaire un état des lieux et la promotion de la discipline sur notre archipel, détecter d'éventuels talents, tels sont les objectifs de l'encadrement de la Fédération française de savate/boxe française en visite actuellement chez nous.
La savate/boxe française existe en Guadeloupe ! 200 licenciés sont répertoriés. Ça semble peu mais pas si ridicule au regard du millier de pratiquants de l'Ile-de-France, dans une région 25 fois plus peuplée. Moins médiatisée que sa grande soeur la boxe anglaise, la discipline - qui admet coups de pieds et de poings - souffre d'un déficit d'image et d'exposition. L'encadrement de la Fédération française, qui l'a bien compris, multiplie les visites de « terrain » et a posé ses valisés quelques jours en Guadeloupe avec certains membres de l'équipe de France (quatre filles, deux garçons), grâce au concours du président de la Ligue, Jean-Claude Félicie...

 

..."Pour prendre la température", observe sans jeu de mot, le directeur technique national, Thierry Mardargent. On vient faire un point avec les clubs, connaître leurs besoins, leurs difficultés. On discute avec les entraîneurs pour savoir comment ils fonctionnent au quotidien. On visite aussi des écoles, les institutions, l'université, le Creps. On fait de la promotion et de la détection. » Bientôt des Guadeloupéens en pôle France ? Car si la savate n'est pas sport olympique, elle possède en revanche une filière de haut niveau avec deux pôles France à Chatenay-Malabry et à Toulouse. Deux structures qui peuvent très bien s'ouvrir aux jeunes Guadeloupéens. « J'ai vu des choses intéressantes, notamment un boxeur qui m'a l'air très bien » assure ainsi l'entraîneur national, Richard Aguenihnai, qui a mené une séance d'entraînement en début de semaine aux Abymes devant des « apprentis » attentifs et, pour certains, désireux de se montrer. « On vient créer des liens et repérer les potentiels, poursuit le DTN. Le problème, c'est que les pratiquants ne sont pas assez confrontés à d'autres boxeurs. Alors même s'ils sont motivés, c'est difficile de les garder si rien ne se passe. On réfléchit à des choses comme réunir les meilleurs des Antilles-Guyane au sein d'un pôle, comment les faire boxer plus ou les faire venir en Métropole. » Les meilleurs ou les meilleures car la savate se décline aussi au féminin. En donnant la réplique à Julie Lazard, championne d'Europe et du monde d'assaut et Maurine Atef, championne de France assaut, certains ont pu s'apercevoir qu'elle avait un sacré de coup de « patte » .

 

Merci à France-Antilles

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